samedi 6 octobre 2012

presentarse en español


Cours d'Espagnol : Se présenter en Espagnol (presentationas)
Afin d'établir un premier contact avec les personnes hispanophones, il est bon de connaître quelques formules de salutation.
Pour commencer nous devons initier le dialogue:
SALUDO Y DESPEDIDA / Salutations:
Hola (le plus utilisé) / Salut
Buenos días (matin) / Buenas tardes (après-midi) / Buenas noches (nuit) - Bonjour / Bonjour / Bonne nuit
Adiós Hasta luego / Hasta pronto - Au revoir / À tout à l'heure / Á bientôt
Une fois que nous avons établi un premier contact, nous pouvons commencer le dialogue avec des questions qui nous permettront de nous informer sur l'autre personne :
PREGUNTAR EL NOMBRE / Demander le nom :
¿Cómo te llamas? / Comment t'appelles-tu?
¿Cómo se llama? / Comment vous appelez-vous?
Me llamo María / Je m'appelle Marie
PREGUNTAR EL ORIGEN O LA NACIONALIDAD / Demander l'origine ou la nationalité:
¿De dónde eres? / D'où viens-tu?
¿De dónde es? / D'où venez-vous?
Soy español/a / Je suis espagnol/e 
Soy francés/a / Je suis français/e
PREGUNTAR LA EDAD / Demander l'âge :
¿Cuántos años tienes? / Quelle âge as-tu?
¿Cuántos años tiene? / Quelle âge avez-vous?
Tengo 35 años /j'ai 35 ans
PREGUNTAR LA PROFESIÓN / Demander la profesión:
¿A qué te dedicas? / Que fais-tu dans la vie?
¿A qué se dedica? / Que faites-vous dans la vie?
Soy consultor fiscal (je suis consultant fiscal)
 ¿En qué trabajas?
¿En qué trabaja?
Trabajo en la Administración Pública (je travaille dans la fonction publique)
PREGUNTAR LA DIRECCIÓN / Demander l'adresse
¿Dónde vives? / Où habites-tu?
¿Dónde vive? / Où habitez-vous?
Vivo en Paris
¿En qué calle vives? / Quelle est ton adresse?
¿En qué calle vive? / Quelle est votre adresse?
Vivo en la avenida República (j'habite avenue de la République)

lundi 1 octobre 2012

Les révisions


13heures à l’Université Anta Diop de Dakar (UCAD), à cette période creuse, les artères de ce vieux temple du savoir, grouille de monde .Des va-et- vient captivent notre regard en cette période de fin d’année. C’est le moment des révisions pour les examens du premier semestre. 

Une chaleur de plomb se sent partout .Et pourtant les étudiants rencontrés ne semblent pas importuner par cette canicule. Au niveau du couloir de la mort, Houléye étudiante en Lettres modernes, fatigue perceptible sur le visage, yeux rougis par le manque de sommeil, assise sur un banc chez un vendeur de papeterie, prépare sérieusement son examen prévu pour le 10 juillet. Cahier à la main, elle nous dresse son emploi du temps son calendrier « je révise de 6heures à 14heures et j’observe une pause jusqu’à 17heures pour poursuivre jusqu’à 1heures où dés fois 2heures.Je n’ai même le temps pour manger » .Toutefois ,elle se désole de la prolongation de l’année causée par la grève des enseignants « c’est difficile car cette année on n’aura pas de vacances mais c’est la situation qui l’oblige, l’essentiel pour nous maintenant est de faire des résultats, mais aussi avec l’hivernage qui arrive ,on fera face à la pluie et aux moustiques ». 

Dans le hall du pavillon A trois étudiants sont assis sur un banc, ils sont tous à la faculté des sciences économiques et de gestion. L’un d’eux défile la souris de son ordinateur, il affiche les pages une à une et tente d’expliquer ses camarades. Plus loin, Alpha étudiant en licence de Physique-chimie, écouteurs collés à l’oreille, une poignée de feuilles à la main, révise debout à pas lent. 
A la Bibliothèque universitaire, c’est le calme plat assimilable à un silence cathédral, une concentration absolue, les étudiants trouvés sur place, n’ont pas voulu se prononcer. Trouvé sous un arbre Abou étudiant au département d’arabe, bouteille à son côté, révise calmement sous les cris des oiseaux. Isolée dans son côté, derrière le rectorat Mariam Ndiaye, étudiante en faculté de droit, lunette myope sur le nez, sandwish à la main, sachet d’eau posé sur le sac, feuillette lentement les pages de son document .Elle n’apprécie pas l’attitude de ses professeurs « pendant toute la durée de la grève, ils percevaient leur salaire, ils ont hypothéqué notre avenir et c’est à nous de payer les pots qu’ils ont cassés. Pire ils attendent la fin de l’année pour nous bombarder de fascicules » poursuit t-elle. 

Au niveau de la cafétéria de la faculté de lettres, Paul Sarr, café à la main, étudiant au département d’anglais, lui a décidé de s’organiser en groupe de travail avec ses amis. Il pense que c’est le meilleur moyen de réviser « c’est dur de travailler seul, au moins en groupe chacun essaye d’apporter sa contribution même si dés fois on a des perturbations et chacun peut tirer profit de l’autre bien vrai que chacun a sa façon de réviser mais ici on se complète ».